Cuisine du monde Gâteaux

Gâteau marbré au Danio

J’avais 3 pots de Danio non consommés et périmés dans mon frigo (et j’avais décidé que le Danio c’est du fromage blanc mais pas du yaourt, je ne sais pas si j’ai raison), je suis donc allée cherché sur internet une recette qui « sort de l’ordinaire ». Evidemment ce n’est pas ça qui manque, mais comme d’habitude je n’en ai fait qu’à ma petite tête, et ça a donné un gâteau marbré au Danio dont ci-après la recette.

Pour un gros gâteau de 8 à 10 personnes :

Il vous faut :
  • 3 pots de Danio natures (150 g chacun),
  • 100 g de farine,
  • 50 g de maïzena,
  • 4 oeufs,
  • 150 g de sucre (ou 200g parce que c’était vraiment peu sucré),
  • 3 càs de cacao en poudre sans sucre,
  • 1 sachet de levure chimique,
  • zeste d’un citron ou autre parfum.
marbre2
 Préparation :

Battez ensemble les jaunes d’œufs et le sucre, ajoutez les Danio et mélangez, mettez ensuite la farine, maïzena et la levure, mélangez à nouveaux. Montez les blancs d’œufs en neige, mélangez la moitié à la pâte. Séparez celle-ci en deux et ajoutez dans l’une d’elle le cacao en poudre. Dans chaque bol, ajoutez enfin les restes de blancs d’œufs (moitié/moitié) et mélangez délicatement.

Dans un moule beurré (ou non, ça dépend du moule que vous utilisez), versez en alternance (avec une grosse cuillère par exemple) les pâtes nature et au chocolat.

Enfournez environ 40 mn dans le four préchauffé à 180° C. Vérifiez avec une lame d’un couteau qui doit ressortir sèche et laisser refroidir.

marbre3

La texture de ce gâteau est un peu différent des autres gâteaux, je ne saurais pas vous la décrire mais j’ai bien aimé. C’est un gâteau assez léger et je pense que c’est pour cela qu’à la sortie du four, il s’affaisse un peu mais rien de catastrophique. Il est meilleur le lendemain mais peut très bien être mangé tiède.

Notez bien que j’ai marqué 40 mn « environ », le dernier mot est très important car je ne mets jamais de minuterie quand je fais un gâteau, donc ça peut être plus ou moins. Mon astuce est de regarder à travers la porte du four que je n’ouvre jamais tant que je ne suis pas sure que le gâteau ait fini de gonfler, c’est la seulement que j’ouvre mon four et que je vérifie avec la lame d’un couteau.

Vous savez pourquoi ? Parce qu’à Madagascar le gaz (si on en trouve) et l’éléctricité coûtent assez chers, donc on fait souvent les gateaux sur un réchaud à charbon dans une cocotte, et sur la cocotte il n’y a pas de minuterie donc c’est au « pif », voilà…

1 commentaire

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *